Mieux vaut prévenir que guérir – cela vaut aussi pour l’alcool. Mais que faire lorsqu’il est trop tard et que la gueule de bois vous afflige? Ces conseils vous permettront d’en venir à bout plus vite.
Buvez beaucoup d’eau!
Une fois que l’on a vomi, cela va déjà beaucoup mieux. Mais les troubles peuvent réapparaître
Pour beaucoup, la caféine est une aide. Mais pour les personnes à l’estomac sensible, elle est plutôt contreproductive
Rétablissez votre taux de glycémie: l’alcool contient beaucoup d’énergie qui incite le corps à freiner sa propre production de «combustible» sous la forme de glucose: le taux de glycémie diminue et apparaissent alors fatigue, baisse de performance mais aussi maux de tête et vertiges, troubles visuels, nausées pouvant aller jusqu’au vomissement. Les boissons riches en sucre telles que le coca, le thé glacé, l’Isostar, le Gatorade ou les jus de fruits sont donc conseillées
Mangez léger, sans surcharger l’estomac (par exemple un morceau de pain, un toast, une biscotte, un stick salé, une crème d’avoine).
Compensez la perte d’électrolytes en buvant du bouillon, car les reins évacuent trop de sels minéraux en même temps que l’eau
Prudence avec les analgésiques: ils sollicitent démesurément l’estomac et le foie déjà affaiblis
Chez de nombreux fêtards, l’estomac est victime d’hyperacidité. Des inhibiteurs de la pompe à protons peuvent éventuellement y remédier, mais il faut les prendre de préférence avant la consommation d’alcool
Les alcools de fusel (avant tout le méthanol) peuvent occasionner des maux de tête et des nausées pendant leur dégradation, en raison de «l’acide formique». Dans de tels cas, la consommation d’éthanol (c’est-à-dire d’alcool «normal») le lendemain peut réellement aider. Une bière de type Pils (pas une Weizen!) le lendemain soulage les maux de tête et autres troubles
