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Pourquoi danser est si bon pour la santé: les 5 points les plus importants

Pourquoi danser est-il si bon pour la santé? La science le sait. ‹online› Pourquoi danser est-il si bon pour la santé? La science le sait. Cela favorise le bien-être psychologique et maintient en forme.

1. Danser améliore l'humeur

Bouger au rythme de la musique améliore l'humeur et contribue à réduire le stress. L'ocytocine, l'hormone de l'attachement, et les hormones du bonheur qui sont sécrétées lorsque l’on danse, en sont probablement responsables. Parallèlement, le cortisol, l'hormone du stress, diminue.

2. Danser stimule le métabolisme

Les mouvements de la danse stimulent le métabolisme et favorisent l'entraînement du muscle cardiaque. Cela renforce à long terme la force musculaire et le système immunitaire.

3. Danser détend

Danser est une sorte de drogue naturelle qui stimule les régions du cerveau connues sous le nom de système de récompense. Il en résulte euphorie, détente et bonne humeur.

4. Danser est convivial

L'échange social, le contact et la convivialité contribuent au bien-être psychique.

5. Danser maintient les cellules cérébrales en forme

Danser maintient le cerveau en éveil: mémoriser des pas et des figures dans sa tête et les appliquer (généralement avec un partenaire de danse) maintient les cellules cérébrales en forme.

(Voir suite ci-dessous...)

Témoignages de danseuses et danseurs

«Avec la Country Line Dance, on est chez soi partout dans le monde»

line-dance
line-dance

Photo: © Basil Stücheli

«Danser est bon pour le corps, l’âme et l'esprit. Et c'est très convivial. Une fois par mois, j’organise une soirée avec tout le groupe au «Sternen» à Detligen BE. D'abord, on mange, puis on danse jusqu'à minuit. Je me réjouis d'avoir parmi nous des danseuses et danseurs qui sont là depuis plus de neuf ans. La particularité de la Country Line Dance est que la chanson et la chorégraphie sont les mêmes partout dans le monde. Où que je sois, je peux rejoindre un groupe. En tant que célibataire, homme ou femme. J'aime presque plus enseigner que danser moi-même. Je pense qu'il faut danser la vie.»

Angela Lo Giudice (54 ans) Baggwil BE, dirige le groupe de Country Line Dance Migistompers à l'École-club Migros Berne Wankdorf.

«Le tango, c’est l'éternelle quête du bonheur»

tango
tango

Photo: © Basil Stücheli

«Avec le tango argentin, je me fonds dans la musique et dans le couple. Ici, c'est l'homme qui dirige, la répartition des rôles est - pour une fois (rires) - claire. Au travail, une femme doit faire ses preuves, au tango, je me laisse guider et je me sens tout simplement féminine. Je lis le langage corporel de mon partenaire, je sens ses intentions, je suis complètement à l'écoute. J'aime le côté mélancolique de la musique, l'éternelle quête du bonheur. Quand j'étais jeune, j'ai assisté à de nombreuses milongas à Buenos Aires. Jeunes et moins jeunes s'y retrouvent pour danser le tango toute la nuit et oublier tout le reste. J'apprécie les manières courtoises et la présentation soignée des tangueras et tangueros. Le tango nous permet en outre vieillir dignement, car ce qui nous unit est et reste la musique et la danse.»

Susi Schildknecht (60 ans), Malans GR, danse souvent avec son partenaire Nobert Bandi (61 ans), Zurich, au Cafetin de Buenos Aires, Zurich

«Le jive, c'est aussi l'envie de swinguer»

jive
jive

Photo: © Basil Stücheli

«Dans l'émission de danse 'Come Dancing' de la BBC 1, j'ai vu à l’âge de 12 ans un couple qui dansait le jive de manière incroyable. C’était alors une évidence: That's it! Cette émission a précédé l'actuel 'Strictly Come Dancing', qui est aujourd'hui diffusé dans 60 pays. Deux ans plus tard, je dansais au championnat britannique, puis en Suisse lors de tournois. Ce qui me plaît encore plus que de danser moi-même, c'est d'enseigner. La danse est une activité sociale, elle procure du plaisir et crée des liens entre les gens. C'est ce que je veux transmettre. Il n'y a pas besoin d'être parfait, mais d’éveiller l'envie de 'swinguer'. Je suis heureux d’avoir fait de mon rêve mon métier.»

Mark Evans (55 ans), Eglisau ZH, est professeur de danse de salon au Tanzwerk101. Il enseigne la valse, la valse viennoise, le fox-trot, ainsi que les danses latino-américaines comme le tango, le jive et autres.

«Ce qui m'intéresse, c'est de tester les capacités du corps.»

contemporary
contemporary

Photo: © Basil Stücheli

«Ce qui m'intéresse, c'est de tester les capacités du corps humain.» Représenter un verre qui tombe. Les arbres qui se balancent dans le vent - le mouvement me fascine énormément. Je suis heureuse d'avoir pu faire de ma passion mon métier en décrochant un contrat à temps plein au Théâtre de Lucerne juste après ma formation au Tanzwerk101. La danse, les costumes et la chorégraphie sont mon avenir. Pendant ma formation, j'ai également appris le hiphop, le ballet et d'autres styles. La danse contemporaine (ou Contemporary Dance) évolue et change de forme de temps en temps. À l'origine, elle est issue de la danse postmoderne des années 60 et 70, un courant opposé à la danse classique. Aujourd'hui, elle est imprégnée de diverses influences. Les battles de hiphop et la danse dans les espaces libres font partie intégrante de mon temps libre.»

Giulia Esposito (23 ans) de Lucerne, est danseuse professionnelle de danse urbaine et contemporaine au théâtre de Lucerne.

«Les danses latinos sont très sensuelles et romantiques»

salsa
salsa

Foto: © Basil Stücheli

«Le rythme fait tout et détermine la vie dès la naissance, ce qui me fascine. Les danses latinos comme la salsa ou la bachata incarnent parfaitement cela. De plus, ce sont des danses très sensuelles et romantiques. La salsa m’apporte un équilibre par rapport à mon travail de sage-femme. Je suis arrivée en Suisse il y a huit ans. La salsa m'a permis de rencontrer des gens et de m'intégrer. Danser est un plaisir et une joie. Je peux me déconnecter et laisser mon corps danser. Mon objectif est de développer et d’enseigner un nouveau style de salsa en tant que professeur de danse.»

Serena Caldari (25 ans), Zurich, danse souvent la salsa et la bachata à l'école de danse Salsarica à la Banenreiferei, Zurich. Elle y travaille comme professeur de salsa. Sur la photo, on la voit avec son petit ami Sanzio Monti (28 ans).

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de Silvia Schütz,

publié le 02.10.2022


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